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CASINO DE SCHOELCHER

A proximité de la capitale Fort de France, c’est le plus important établissement de jeux de l’île, réputé pour la qualité des ses animations et spectacles, ce qui lui a valu en 2000 le prix international Arc d’Europe.

Le casino de Batelière-Plazza vous propose un très grand choix avec 150 MAS, roulette, Black Jack, Poker Texas Hold’em, un bar et le restaurant « Le Club Saveur ».
Ouvert tous les jours de 10h à 3h.


HISTORIQUE

Les premiers vestiges et traces d’une population sur l’île de la Martinique date du 1er siècle (Amérindiens), toutefois il semblerait que la présence de l’homme dans les Petites Antilles remonte jusqu’à 10 000 ans avant JC.

Cette population d’origine amazonienne est couramment appelée Arawaks ou Caraïbes, elle a occupé les contreforts de la Montagne Pelée qui connut une terrible éruption en 295 décimant et exilant la majeure partie.

Ces populations reviendront beaucoup plus tard se réinstaller dans la zone sud de la Martinique.

Probablement découverte en 1500 par Alonso de Oseda et appelée Madinina « L’île aux femmes » puis rebaptisée par Christophe Colomb en 1502 Martinica du fait de son monopole des découvertes.

Le 15 septembre 1635 le flibustier Pierre Belain d’Esnambuc débarque à Saint Pierre et installe la première colonie française pour le compte du Roi et de la Compagnie des Iles d’Amérique.

Le premier moulin à sucre est construit par Daniel Trezel en 1640. Pendant 10 ans le gouverneur Parquet exploite l’île puis la rachète à la Compagnie des Iles ruinée, à sa mort en 1658 éclate la guerre contre les Indiens Caraïbes qui sont massacrés et s’enfuient sur les îles Saint Vincent et Dominique.

Pierre Dubuc de Rivery fonde la dynastie des planteurs de sucre, toutefois la culture du sucre occupe deux fois plus de terres que celle du tabac.

L’essor économique grâce au commerce triangulaire voit le développement du tabac, indigo, cacao mais bientôt la culture de la canne à sucre prend le dessus dominant l’expansion jusqu’à la seconde moitié du XXème siècle.

L’esclavage se développe à partir de 1671, l’explosion du nombre d’esclaves correspond d’ailleurs aux décisions de Louis XIV pour favoriser le sucre au détriment du tabac.

Louis XIV abolit en 1671 le monopole de la Compagnie des Indes, la traite négrière est ouverte dans tous les ports français pour stimuler la concurrence. La Marquise de Maintenon, célèbre favorite du roi, avait été surnommée « la belle indienne » car elle avait passé sa jeunesse en Martinique.

Le Roi distribue terres et titres à tout planteur qui installe sur ses terres plus de 100 esclaves ce qui propulse d’avantage le commerce du sucre et celui de la traite.

Le code noir de 1685 limite le métissage et légalise la torture des Noirs.

Le 4 février 1794 la convention abolit l’esclavage mais le traité de « White Hall » avec les Anglais permet aux colons royalistes de continuer sous la domination anglaise le maintien de l’esclavage et d’une fiscalité réduite.

Le 30 janvier 1809 le général Beck With débarque en Martinique avec 13000 hommes, ils prennent Fort de France et assiègent le Fort Desaix qui capitule le 24 février 1809.

Le 27 avril 1848 Victor Schœlcher Ministre de la marine signe le décret d’abolition de l’esclavage.

La population de la Martinique comptait 120 000 habitants, 9500 blancs, 38 700 affranchis et 73 000 esclaves.

Afin de renouveler la main d’œuvre la Martinique accueillit indiens et chinois qui se sont rapidement intégrés mais fuyant très vite les champs ils ouvrent des commerces sur l’île.

Le 8 mai 1902 l’éruption de la Montagne Pelée formant une nuée ardente décima tous les habitants (30 000) à l’exception d’un prisonnier du nom de Louis au juste Sybaris qui fut sauvé par l’épaisseur des murs de son cachot. Ce qui prouve bien que la justice divine est parfois impénétrable et surtout déroutante.

En janvier 1940 le Maréchal Pétain nomme l’Amiral Georges Robert Haut Commissaire de la France aux Antilles, il devient le représentant du régime de Vichy en Martinique.

L’Amiral Robert impose un commandement d’une extrême rigueur, s’emparant des rares ressources disponibles, collaborateur zélé il affiche clairement son mépris pour les populations de couleur, il quitte l’île en juillet 1943, contraint et forcé.

L’après guerre connut une période misérable et difficile, en 1946 la loi de départementalisation proclamant le rattachement et l’assimilation à la nation française applique aussi une forme de décolonisation tout à fait originale.

CASINO DE SCHOELCHER

CASINO DE BATELIERE PLAZZA
Rue des Alizés
97277 Schoelcher
Martinique FWI
Tel 05 96 61 73 23
Fax 05 96 61 73 19
www.groupecogit.com


POKER ROOM

Horaires d'ouverture :
Du dimanche au jeudi de 20h à 3h
Vendredi, samedi et veille de jour férié de 20h à 4h

Structure des tables :
Buy in 100 € / Small Blind 2 € / Big Blind 4 €
Buy in 50 € / Small Blind 1 € / Big Blind 2 €

Tournois :
Initiations et tournois événementiels :
se renseigner auprès du Casino


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APICIUS
Centre commercial La Fontaine
05 96 78 44 73
15 € - 30 €

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LITCHIE BAR
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05 96 69 64 93

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HOTEL BAKONA
LES TROIS ILETS****


Pointe du Bout Trois Ilets
01 57 32 36 16
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Dans un décor idyllique, des chambres spacieuses qui donnent directement sur l’océan. Restaurant et bar lounge vous permettent une détente de rêve.
HOTEL KARIBEA SQUASH
3 bd de la Marne
Fort de France
01 57 32 36 16

Un établissement très apprécié par la clientèle de passage car le rapport qualité / prix y est excellent, ce qui n’est pas le cas des autres hôtels.
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